Reply #36: I wonder if I may quote you on this? [View All]

I would like to repeat it as often as I can.


Should we wrap some yellow tape around this crime sceen?

And now I'm going to translate this


La crainte d'un coup d'État
Pourtant les faits sont têtus : quels que soient les auteurs de ces attentats et les buts qu'ils poursuivent, ils connaissaient les codes secrets de la Maison-Blanche et d'Air Force One permettant d'authentifier les ordres présidentiels. Ils l'ont fait savoir par téléphone au Secret Service chargé de la protection présidentielle (cf. White House Said Targeted, The Washington Post, 12 septembre, et Aides Say Bush Was One Target of Hijacked Jet, The New York Times, 13 septembre, voir aussi Zones d'ombre sur le ciel de Manhattan sur Amnistia.net). Cet appel, dont le contenu reste secret, ne visait pas à revendiquer la responsabilité des événements, mais à poser un ultimatum, à forcer la main au président des États-Unis. Pendant une dizaine d'heures, le président Bush a été contraint de fuir Washington et de se rendre personnellement à l'US Strategic Command (Offutt, Nebraska), à la fois pour prendre le contrôle direct des armées (ce qu'il aurait pu faire depuis Washington) et surtout pour que personne ne puisse usurper son identité et déclencher le feu nucléaire. Pendant ce temps, des tireurs d'élite et des roquettes sol-air furent déployés aux alentours de la Maison-Blanche pour empêcher un assaut par des commandos aéroportés. La Maison-Blanche et le Capitole, siège des institutions démocratiques furent immédiatement évacués.

C'est le propre des empires maintenus par la force que de craindre les coups d'État militaires. Pourtant cette dimension n'est pas intégrée dans notre représentation de l'Amérique. Quoi qu'il en soit, nous avons cherché quelles pouvaient être les factions susceptibles d'inquiéter le président Bush. Nous présentons dans cette livraison une étude sur les Special Forces Underground (Forces spéciales clandestines), un réseau terroriste qui s'est développé au sein du stay-behind et qui entretient des relations entre autres avec Ben Laden. Ce réseau n'en est pas à son premier coup contre l'État fédéral puisqu'il est impliqué aussi bien dans l'assassinat du président John F. Kennedy que dans l'attentat terroriste d'Oklahoma City. Il est bien connu de la famille Bush et du milieu des pétroliers texans qui l'ont soutenu financièrement par le passé et ont eu recours à ses services.

On observera d'ailleurs qu'au lendemain du 11 septembre, aucun des dirigeants des quarante agences de renseignement US n'a été sanctionné malgré la faillite patente des services. Au contraire, une batterie de nominations et de mutations a été annoncée à l'état-major. Aucun officier supérieur n'a été arrêté pour trahison au profit des Islamistes ou conjuration avec eux, mais un compromis a été trouvé : ils voulaient un nouvel ennemi, ils voulaient leur guerre : ils l'auront. Et dans cette guerre, les agents d'hier seront les cibles de demain.

Ces mécanismes n'ont pas échappé à l'agence Reuters : si celle-ci n'a pas relaté les conflits internes de l'appareil militaire US, elle a décidé de ne plus employer dans ses dépêches le mot " terroriste " pour désigner les frappes et leurs auteurs. Car ce mot induit à tort l'idée que ces auteurs et commanditaires seraient tous extérieurs à l'État.

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http://www.reseauvoltaire.net/article7608.html

The fear of a state blow Nevertheless do them are stubborn: whatever the authors of these attempts and the goals that they follow, they knew the secret codes of the White House and of air Forces One allowing authenticating the presidential orders. They made known it by telephones the Secret loaded Service of the presidential protection (cf. White House Said Targeted, The Washington Post, September 12, and Help Say Bush Was One Target of Hijacked Throw, The New York Times, September 13, see also shadow Zones on the Manhattan sky on Amnistia.net). This call, of which it contained secret remainder, did not aim to claim the responsibility of the events, but to put an ultimatum, to force the hand to the president of the united States. During about ten hours, president Bush was constrained to flee Washington and to go personal to the us Strategic Command (Offutt, Nebraska), at once to take the direct check of the armies (this that it could have done since Washington) and especially for that person cannot usurp his identity and release the nuclear fire. During this time, marksmen of elite and roquettes ground air were deployed to the surroundings of the White House to prevent an assault by airborne commando units. The White House and the Capitole, sit democratic institutions immediately were evacuated.

This is the clean one empires maintained by the force that to fear the blows military states. Nevertheless this dimension is not integrated in our representation of america. Although it in be, we looked for which could be the likely factions to worry president Bush. We present in this delivery a study on the Special Force Underground (clandestine special Forces), a terrorist network that developed within the stay-behind and that maintains relations between other with Bin Laden. This network not some is at his first blow against the federal state since it is implied just as well in the assassination of the president John F. Kennedy as in the terrorist attempt of oklahoma City. It well knew family Bush and environment of the oil Texan one that the supported financially by the passed and had recourse to its services.

One will observe besides that to the day following September 11, none of the leaders of the forty piece of information agencies US was not punished despite the obvious bankruptcy of the services. To the opposite, a battery of nominations and of mutations was announced to the état-major. No superior officer was not stopped for treason to the profit of the Islamic or conspiracy with them, but a compromise was found: they wanted a new enemy, they wanted their war: they will have it. And in this war, the agents of yesterday will be the targets of tomorrow.

These mechanisms did not escape the agency Reuters: if this one did not relate the internal conflicts of the military device US, she decided of not more to employ in its dispatch the word " terrorist " to designate the strikes and their authors. For this word induces to wrong the idea that these authors and backers would be all exterior ones to the state.